Point de départ: le camp de réfugiés de Ballata à Naplouse, en Cisjordanie. À l’arrivée, un spectacle de danse gorgé d’énergie, de couleurs et d’une joie féroce, où les interprètes et leurs évolutions concentriques bousculent les injustices de notre temps. De la chorégraphie comme légitime défense.
Cette proposition s’inscrit dans le cadre de la Fête de la Danse qui se déroule du 8 au 14 mai dans tout Genève.