C’est dans sa culture familiale et les récits intimes des quartiers de Beyrouth que le danseur et chorégraphe libanais Ali Chahrour est allé puiser pour créer cette oraison pour les mères. Dans la sombre mélodie qui baigne les deux récits de Du temps où ma mère racontait, mère et fils chantent et dansent l’amour filial, les sacrifices, la perte, la mort, le deuil, la foi.
Accueil réalisé en collaboration avec La Bâtie – Festival de Genève