Entrer dans la salle, se coucher par terre, regarder en l’air. Sur scène, huit interprètes dissimulé·e·s dans un drôle de dispositif cylindrique. Réfléchie sur le miroir du plafond apparaît alors une splendide fleur tropicale dont les pétales ont forme humaine. La fleur oscille, se transforme, crée des cercles, des figures symétriques, asymétriques, devient chenille ou animal fantastique. Le tout berce, hypnotise et fascine.
